Le maquis
Dans le site du CREPS le maquis prend différentes formes parfois très dense parfois moins, souvent à ses différents stades d’évolution du stade herbacé au climax. Selon la prédominance d’une espèce (bruyère ou ciste, ...) les ambiances sont totalement différentes. Du champ de ciste à la prairie plantée de chênes lièges, l’atmosphère, les odeurs, la lumière différe.
Les chênes lièges
la carrière gallo-romaine
Les blocs étaient retirés par éclatement de la pierre. On taillait une fissure au sein de laquelle on introduisait ensuite un morceau de bois sec. Une fois le bois installé on l’arrosait, en glonflant celui-ci faisait éclater la pierre. Le bloc se détachait alors.
le "jardin de pierres"
Une grande masse d’Esterellite, qui impose sa mineralité mais n’en n’est pas moins l’abri pour de nombreuses espèces. Les lichens divers se développent sur cette roche, et entre deux blocs, les fougères recherchent l’ombre et la fraicheur.
Teintes Les couleurs chaudes sont omniprésentes sur le site. Notamment par la présence de la rhyolite, roche emblématique de l’Estérel. Issue des coulées de lave lors de la formation du massif. Ce socle reapparait dans les zones érodées
Créé artificiellement, l’étang se remplit naturellement grâçe au ruisseau qui prend sa source juste au dessus. Les roseaux ont pris leurs aises , les saules et peupliers y poussent aisément. La végétation et l’étang abritent de nombreuses espèces de zone humide telles des libelulles, : cistudes d’Europe (tortues), ...
Cette zone humide est issue du ruisseau de la Céruse mais aussi par le caractére encaissé du lieu. L’eau affleure, il y fait toujours plus frais que dans le reste du site. Cette humidité, y compris l’été, favorise le développement d’espéces aux feuillages tendres, comme des lamiacées, mais aussi des joncs ou encore des papyrus.
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Travail Personnel de Fin d'Etudes
Camille Texier
Paysagiste / Landscape Architect Pau, France